vendredi 24 mai 2013

Ma Live -Ma Méthode

J'ai reçu pas mal de mails me demandant pourquoi il n'y avait pas encore d'explications ni de méthode sur la magniére dont j'ai perdu plus de 46 kilos en moins de 7 mois. Alors je vais vous expliquer pourquoi je ne donne pas encore de méthode. D'abord, je rappel que je ne vends rien ici... Ni produits miracles, ni puillule magique, ni heures de scéances de caoching au prix de l'heure de vol en jet privé.
Non pour moi ce blog à une autre vocation: P-A-R-T-A-G-E-R! D'abord les raisons qui mènent au sur poids ne sont pas systématiquement les mêmes. Oui il y à des exceptions: des gens qui suite à des problèmes de santé grave sont amené a développer une certaine obésité. Mais en général il n'a pas de secret. Qui dit kilos en trop. Dit apport calorique disproportionné et sédentarité en canapé.  La méthode que j'exposerais au fil des posts. Est MA METHODE. Elle a marché pour moi. Mais vous devrez l'adapter à vous. La comprendre, la digérer, vous l'approprier. Et surtout comme dans toute perte de poids vous faire suivre très régulièrement par votre médecin (analyse de sang régulière, tension, coeur etc) car on essaie de maigrir pas de se tuer. Si Christian Bales à réussit à perdre 30 kilos en 3 mois pour son rôles dans The machinist. C'est qu'il a su absorber les méthodes d'amaigrissement et les restituer adaptées à son rythme de vie, sa condition physique, son age, etc etc.


J'ai toujours été enrobé. De ma prés adolescence jusqu'à l'age adulte. Je n'ai jamais su ce que c'étais d'étre mince. Et croyez moi ètre enrobé dans les années 90-2000 c'étais un vrai chemin de croix. D'abord car contrairement à aujourd'hui les sandwicheries Hallal et autre kebab royal ne dealaient pas leurs fix-de-fritures et leurs dose de cheesy-caïne à tous les coins de rue. Non la plus par des gens étaient minces. Donc j'était le paratonnerre de toute les mauvaises blagues qui s'abattaient sur moi dans un grondement d'éclat de rire.
Bizarrement je n'ai jamais essayer de perdre du poids. Même quant mon cerveau ivre d'hormones réclamait que je lui procure sa dose de "sexe" je préférait la misére sexuelle à une quelconque privation alimentaire. Et dans l'esprit d'un food addict un bon film et un poulet aux olives avec du pain frais valaient une nuit d'amour avec une inconnue.
J'ai grandis dans une famille maghrébine traditionnelle. Ou se réunir c'était d'abord et avant tout manger. Et pour le reste ma maman-poule qui voulait me protéger de la délinquance ambiante préférait me savoir à la maison à tramper des montagnes de madeleines dans des sauts de lait-Benco-Chocolat plutôt que de trainer dehors livré aux dangers du monde extérieur.
Mais le vrai tournant fut le début de l'age adulte. Après avoir mis fin à mes études assez prèmaturement pour des raisons familiales. Je suis rentré dans le monde professionnel à 20 ans. Dans le domaine de la vente (seule domaine ou sans diplômes mais avec un peu de détermination on peu faire une belle cariére). Noyé dans les histoires de famille et la pression professionnelle mon seul anxiolitique fut la nourriture. Le soir après des journées de travail de 10 heures je faisait un crochet par le franprix du coins, je faisait le plein de toutes ces douceurs sucrées et salées qui m'apportaient tant de réconfort et fillait m'installer devant internet et ses milles distractions en engloutissant mon butin. Au boulot, pour me donner des coups de boost au morale, je faisais des passage réguliers à la boulangerie pour m'acheter... une tartelette... un flan...une part de pizza... un peu comme un junky qui s'enfile un raille de coke dans les toilettes. Je fuyais mon reflet dans le miroir. Je riais de moi même et de mon embonpoint. J'achetais des fringue de plus en plus large. Je draguais sur internet des filles avec qui je n'entretenais que des relations sans lendemain. Je vivais des histoires sentimentale ou mon physique m'empêchait de me sentir aimé. Un jour debout sur une balance. Un de ces soirs ou hyper motivé après une énieme humiliation je décidais de faire un régime. Je vis s'afficher un chiffre qui me fit réaliser l'ampleur du désastre 117kg. J'étais presque à 120 kilos pour 175 cm. J'avais 33 ans. Je me supportais plus. Il fallait faire quelque chose. Il fallait arrêter de se dire CE SERAIT COOL SI J AVAIS DES PECTORAUX AU LIENS DE CES PECTO-SEINS TOMBANT COMME LES MAMELLES D UNE VIEILLE DAME...CE SERAIT TOP SI J ETAIS MINCE ET QUE JE POUVAIS PORTER DES FRINGUES AVEC UN PEU DE STYLE...IL FAILLAIT PRENDRE SES P##AINS DE COJONES ET LE DEVENIR


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