samedi 25 mai 2013

Pourquoi perdre du poid?


Cette question peu paraitre etrange tant les reponses sont évidentes. Un peu comme si chercher à maigrir quant on a quelque kilos en trop était aussi naturel que de chercher un partenaire lorsque l'on est celibataire.  Mais la réponse n'est pas si évidente que ça. Pour les hommes en général c'est trés souvent une questions de séduction: car beaucoups d'homme associent bêtement des abdos d'acier avec une vie de casanova leader-price.
Excepté les rares cas d'ultimatum médicaux ou entre deux patients un praticien quelconque vous demande de perdre du poids sans quoi vous ne verrez pas la couleur de votre prochain gateau d'anniversaire. L'homme veux maigrir pour améliorer sa compétitivité sur le marcher des celibataires.
Moi personnellement ce fut une des grandes raisons qui m'ont poussé à me résoudre à abandonner mes nuits de gloutonneries en roue libre et en solo. Au jour d'aujourd'hui, je me rends compte que c'était un raisonnement bête. D'abord parce que malheureusement la grande question que tous les hommes se posent à savoir "Que veulent les femmes?" n'a pas de réponse. Et secondo, parce que si le seul moteur de votre perte de poid c'est de plaire aux femmes vous ne céder qu'à une addiction de plus. Vous remplacez les gauffres aux nutella par des rendez vous gallants à l'issue incertaine. Vous remplacer les crises de boulémie par les filles de joie entre deux voiture dans un parking.
Moi mon second moteur c'est la mode. La joie de chercher du M dans les rayons de zara homme et s'entendre dire par un vendeur: " Pour vous ce serait plutot un S". Le bonheur d'essayer n'importe quoi même un combo T shirt blanc jean brut et se sentir séduisant. Oui! en fait aprés avoir eu un déficit d'Image de soit énorme. Se faire un gros fixe d'EGO. Se regarder et se trouver beau... un plaisir qui dure des heures... comparé à celui d'un quelconque plat aussi tot avalé aussi tot oublié.
Vous me direz. Pourquoi la raison de maigrir est si importante? Et bien parce que c'est d'abord et avant tout dans cette ou ces raisons que vous trouverez la force d'aller au bout de l'aventure. Moi durant tous mon régime je n'ai pas acheté de nouvelles fringues au point que je finissais par nager dans mes vetements. Parce que je savais que le jour ou je vérais 70 s'afficher sur la balance je pourrais me faire une grosse journée de shooping rien que pour moi... J'y pensais chaque jour. Je faisais des repérages sur internet de ce que j acheterais. J'avais un jean taille  40 accroché à un ceintre dans ma chambre pour que tous les matins je me souvienne de ce pourquoi je faisais tout ça.
J'ai un ami caoch qui vit aux états unis et qui conseil a ses éléve de s'acheter un grand tableau en liége et d'y accrocher tous ce qui represente leurs raison de vouloir maigrir. Des photos de modes, la photo d'un ex qu'on cherche a recupérer des petits mots d'encouragement de ses proches. Des captures d'écrans de message de rupture. Des photos de soit qu on déteste avec ecrit dessu "plus jamais". Bref un patchwork pour visualiser vos envies. C'est une bonne idée je trouve. Ne pas perdre de vu ce que l'on veux vraiment et céder à ce dont on a juste ENVIE sur l'instant.
Voila pourquoi il faut trouver sa propre motivation. Sa lumiére au bout du tunnel.

vendredi 24 mai 2013

Ma Live -Ma Méthode

J'ai reçu pas mal de mails me demandant pourquoi il n'y avait pas encore d'explications ni de méthode sur la magniére dont j'ai perdu plus de 46 kilos en moins de 7 mois. Alors je vais vous expliquer pourquoi je ne donne pas encore de méthode. D'abord, je rappel que je ne vends rien ici... Ni produits miracles, ni puillule magique, ni heures de scéances de caoching au prix de l'heure de vol en jet privé.
Non pour moi ce blog à une autre vocation: P-A-R-T-A-G-E-R! D'abord les raisons qui mènent au sur poids ne sont pas systématiquement les mêmes. Oui il y à des exceptions: des gens qui suite à des problèmes de santé grave sont amené a développer une certaine obésité. Mais en général il n'a pas de secret. Qui dit kilos en trop. Dit apport calorique disproportionné et sédentarité en canapé.  La méthode que j'exposerais au fil des posts. Est MA METHODE. Elle a marché pour moi. Mais vous devrez l'adapter à vous. La comprendre, la digérer, vous l'approprier. Et surtout comme dans toute perte de poids vous faire suivre très régulièrement par votre médecin (analyse de sang régulière, tension, coeur etc) car on essaie de maigrir pas de se tuer. Si Christian Bales à réussit à perdre 30 kilos en 3 mois pour son rôles dans The machinist. C'est qu'il a su absorber les méthodes d'amaigrissement et les restituer adaptées à son rythme de vie, sa condition physique, son age, etc etc.


J'ai toujours été enrobé. De ma prés adolescence jusqu'à l'age adulte. Je n'ai jamais su ce que c'étais d'étre mince. Et croyez moi ètre enrobé dans les années 90-2000 c'étais un vrai chemin de croix. D'abord car contrairement à aujourd'hui les sandwicheries Hallal et autre kebab royal ne dealaient pas leurs fix-de-fritures et leurs dose de cheesy-caïne à tous les coins de rue. Non la plus par des gens étaient minces. Donc j'était le paratonnerre de toute les mauvaises blagues qui s'abattaient sur moi dans un grondement d'éclat de rire.
Bizarrement je n'ai jamais essayer de perdre du poids. Même quant mon cerveau ivre d'hormones réclamait que je lui procure sa dose de "sexe" je préférait la misére sexuelle à une quelconque privation alimentaire. Et dans l'esprit d'un food addict un bon film et un poulet aux olives avec du pain frais valaient une nuit d'amour avec une inconnue.
J'ai grandis dans une famille maghrébine traditionnelle. Ou se réunir c'était d'abord et avant tout manger. Et pour le reste ma maman-poule qui voulait me protéger de la délinquance ambiante préférait me savoir à la maison à tramper des montagnes de madeleines dans des sauts de lait-Benco-Chocolat plutôt que de trainer dehors livré aux dangers du monde extérieur.
Mais le vrai tournant fut le début de l'age adulte. Après avoir mis fin à mes études assez prèmaturement pour des raisons familiales. Je suis rentré dans le monde professionnel à 20 ans. Dans le domaine de la vente (seule domaine ou sans diplômes mais avec un peu de détermination on peu faire une belle cariére). Noyé dans les histoires de famille et la pression professionnelle mon seul anxiolitique fut la nourriture. Le soir après des journées de travail de 10 heures je faisait un crochet par le franprix du coins, je faisait le plein de toutes ces douceurs sucrées et salées qui m'apportaient tant de réconfort et fillait m'installer devant internet et ses milles distractions en engloutissant mon butin. Au boulot, pour me donner des coups de boost au morale, je faisais des passage réguliers à la boulangerie pour m'acheter... une tartelette... un flan...une part de pizza... un peu comme un junky qui s'enfile un raille de coke dans les toilettes. Je fuyais mon reflet dans le miroir. Je riais de moi même et de mon embonpoint. J'achetais des fringue de plus en plus large. Je draguais sur internet des filles avec qui je n'entretenais que des relations sans lendemain. Je vivais des histoires sentimentale ou mon physique m'empêchait de me sentir aimé. Un jour debout sur une balance. Un de ces soirs ou hyper motivé après une énieme humiliation je décidais de faire un régime. Je vis s'afficher un chiffre qui me fit réaliser l'ampleur du désastre 117kg. J'étais presque à 120 kilos pour 175 cm. J'avais 33 ans. Je me supportais plus. Il fallait faire quelque chose. Il fallait arrêter de se dire CE SERAIT COOL SI J AVAIS DES PECTORAUX AU LIENS DE CES PECTO-SEINS TOMBANT COMME LES MAMELLES D UNE VIEILLE DAME...CE SERAIT TOP SI J ETAIS MINCE ET QUE JE POUVAIS PORTER DES FRINGUES AVEC UN PEU DE STYLE...IL FAILLAIT PRENDRE SES P##AINS DE COJONES ET LE DEVENIR


mercredi 22 mai 2013

Etes-vous un food addict? Les 10 indices qui doivent vous allerter.


1°/ Vous manger trés souvent seul. Et vous supportez presque plus qu'un vous regarde manger.
2°/Vous avez un "pécher mignon". Un plat  "détonateur" qui constamment vous améne a vous empifrer.
3°/Vous prenez la majorités de vos calories le soir. Vous n'avez pas faim le matin. Vous mangez beaucoup a midi. Et le soir venu vous ne vous refusez rien.
4°/Vous n'arrivez pas à vous contrôler en mangeant. Vous n'arrivez pas a vous limiter ni sur le type ni sur la quantités de ce que vous mangez.
5°/Vous vous autorisez un"festins" chaque soir en vous prométant des commencer un régime le lendemain.
6°/Vous commencez un régime plus de deux fois par mois.
7°/Vous mangez pour vous sentir mieu.
8°/Vous mangez quant vous vous ennuyez.
9°/Votre budget nourriture est sans limites. Vous ne vous étes pas payer de nouvelle chemise depuis des mois. Mais votre frigo est plein à craquer.
10°/Vous évitez votre reflet dans le mirroir.
Si vous réunissez plus de 5 de ces symptomes. Vous étes peu etre deja accroc à la nourriture au point que cela commence a avoir un impacte certain sur votre quotidien. Et comme dans n importe qu elle addiction reconnaitre son addiction est deja un pas vers la guérison.

mardi 21 mai 2013

La nourritures est une drogue douce.


Je viens de lire un article du "wall street journal" incroyablement interressant. Dans  l'article l'auteur compare les désordres alimentaires compulsifs à des addictions beaucoups plus "glamour" comme l'alcool, les drogues, le shopping ou le sexe (glamour parce qu'au cinéma, un mannequin ivre mort avec une barbe de deux jour est plus vendeur qu'un rondouillard en Marcel taché de sauce barbecue en train de s'empiffrer de chicken wings)
La plus part des gens se nourrissent mal pour les même raisons qui poussent certains à boire, fumer, enchaîner les coups d'un soir ou à prendre de la drogue. Bien entendu je ne parle pas du foodie branché et rabelaisien qui dévorent une symphonie de cuisines à la recherche de l'extase gustative. Qui quittent la table repus en lâchant avec un sourire: "c'était fantastique" avant d aller passer une nuit à parler littérature dans les bars branché de Paris. Ceux la n'ont pas de névroses au sujet de la nourriture. Ils ne sont pas obèses. Ils sont "généreux".
Non - Je parle de ceux dont l'idée de se nourrir n'est pas un plaisir mais une compulsion. De ceux pour qui l'idée de "manger" est constamment un "bruit de fond" dans leurs pensées quotidiennes. Ceux qui font irruption dans la cuisine après s'être privé pendant de longues heures en tentant pour la énième fois un régime miracle et qui avalent debout devant le frigo un patchwork hétéroclite de sucres et de gras.  Ils noient leurs idées noires, leurs stress quotidien, bouchées après bouchées, gorgées après gorgées, enveloppé peu à peu par cette torpeur du trop plein de sucre et d'insuline dans le sang.
Être ivre de nourriture. Voilà leurs but. Leurs refuge dans ce monde fou de responsabilité et d'incertitudes. Mais la nourriture est une addiction difficile a masquer. Un alcoolique après une bonne douche et un brossage de dents peu faire illusion. Un drogués est un insoupçonnable 99% du temps. Mais un food addict lui n'a pas d'autre choix que de porter les kilos en trop séquelles de ces bad trip culinaires. Stigmatisé, raillée, renvoyé à ses faiblesses, humilier de son état il s'enferme se blottissant dans son addictions. Fuyant par la seul porte de sortie qu'il connaisse: celle du frigo.
-J'aime la nourriture plus que je n'aime les gens.